I. Accueil par la chorale de Privas

Merci aux Privadois qui ont été parfaits.

Rapport moral

Présenté par le président, Félix Plantevin), en résumé (document complet sur demande par mail ou par téléphone auprès de Félix) :
– Le rassemblement de 99, sous la direction d’Eduardo Lopez, a été une prestation de qualité.
– L’atelier inter-chorales de cette année 2000 pose des problèmes de budget : c’est un concert très cher.
– L’action de Bruno Pasquier et Claude Falligan est très positive, en particulier pour la formation.
– La fédération des chorales de l’Ardèche a été dissoute, l’ACBV sera une des 3 associations interlocuteurs du Conseil général ; de plus, un comité de pilotage se met en place pour gérer les projets ; 4 membres de l’ACBV en font partie.
– Félix remercie le bureau de l’ACBV pour le travail accompli, il nous rappelle qu’il est démissionnaire de la présidence et doit être remplacé très rapidement.

Rapport financier

présenté par la vice-présidente (Reine Bard), en remplacement d’Émile excusé (document complet distribué par Reine) :

Les finances sont saines.

Les deux rapports ont été approuvés à l’unanimité.
 

III. Présentation des actions et projets du Conseil Général

Bruno Pasquier :  les projets se font avec des partenaires tels que la Mairie d’Aubenas et le Conseil Général : des organisations onéreuses comme le 11è rassemblement et l’atelier Villa-Lobos ont un lourd budget, mais ce sont des prestations de qualité, donc ça vaut la peine. En particulier, la direction d’Eduardo Lopez est un gage de qualité artistique.
Le Conseil Général  entend toutefois veiller à garder un équilibre entre formation et manifestations.
La Fédération (FCA) a été une tentative d’avoir un interlocuteur unique, mais ça n’a pas marché faute de présence de la FCA sur le terrain. Bruno rappelle qu’il existe 130 chorales attestées dans le département, dont 30 étaient représentées dans la fédération. Sur le terrain, ce sont les associations comme l’ACBV et la FEPRAC qui peuvent agir ; il manque une troisième association au centre de l’Ardèche, qui sera créée en mars.
Le comité de pilotage qui va se réunir le 13 mars sera un nouvel outil pour le chant choral ; il comprendra :
– des délégués des 3 associations, susceptibles de transmettre l’information dans les deux sens.
– 4 membres du CG : Pierre Jouvencel, J-P Vallon, un élu de la majorité et un élu de l’opposition
– une personne qualifiée hors département
– des techniciens, M. Brossaud, Bruno Pasquier et Claude Falligan, qui ont un rôle d’analyse et de force de proposition.
Félix fait remarquer que les membres du CG au comité de pilotage sont tous d’Ardèche du Nord.
Les représentants du sud-Ardèche sont : Paulette Pénelon pour les chefs de chœur expérimentés, Claude Baudot pour les chefs de chœur débutants, Brigitte Leclerc pour chœurs d’enfants. On rappelle les problèmes rencontrés pour créer des chœurs d’enfants, faute de chefs, et faute d’enfants.

 Bruno Pasquier souhaite expliciter la finalité et la lisibilité  du festival « Ardèche  à tout chœur ».
Est-ce un lieu de production locale ? Il y a peu de chorales qui présentent des projets d’envergure et du reste peu de lieux en Ardèche pour les accueillir. Le travail avec orchestre pèse de plus en plus lourd sur le budget.
Il existe un projet d’école départementale pour la formation, l’enseignement et la pratique du chant polyphonique.
Propositions pour « Ardèche atout chœur » :
– sélectionner de petits projets qui puissent se produire dans les toutes petites communes
– créer un orchestre départemental semi-professionnel (profs d’écoles de musique, grands élèves...)
– présenter des concerts à l’issue des formations (fin de stages)
– présenter tous les ans ou les deux ans un concert-phare de renommée internationale
Félix remarque qu’il est important que les choristes soient habitués à écouter des concerts de qualité, en concert et pas seulement sur disque.
Gisèle insiste sur le rôle pédagogique de la présence aux concerts.
Thérèse pense qu’il est fondamental de clarifier le rôle d’ Ardèche atout chœur.
Paulette dit qu’il y a eu des tensions à cause d’un problème d’image : à qui revient le prestige du festival ? Il faut un équilibre entre les pouvoirs publics et les initiatives venues de la base.

Bruno conclue en souhaitant pouvoir établir un conventionnement avec les communes qui seraient partie prenante pour des actions en milieu rural.

IV. Problème des partitions de l’atelier Villa-Lobos

 Les partitions qui seront prêtées par la partothèque du Conseil Général devront être restituées. Pour s ‘en assurer, on remettra à chaque délégué  de chorale une liasse de partitions numérotées. Cette pratique va engendrer un supplément de travail de secrétariat. Renée Favier propose son aide pour cette tâche.
Le travail initial se fera sur des photocopies, le concert se fera avec des partitions originales.
Odile remarque qu’il vaut mieux ne pas parler d’emblée de l’achat des partitions pour ceux qui voudront les garder, cet achat sera géré ultérieurement dans les chorales.
 

V. Remplacement d’une partie du bureau

Félix Plantevin renouvelle son souhait de quitter la présidence.
Catherine Thomas, arrivée en fin de mandat, renouvelle sa participation.
Renée Favier se propose au bureau, Félix lui demande de prendre le poste de trésorière, ce qu’elle accepte. Vote : oui à l’unanimité. La première tâche de Renée sera l’appel à cotisations, dont elle s’occupera avec Émile, actuellement trésorier par intérim.
Anne-Marie BAUDOT, sollicitée par Félix, accepte de participer au bureau, à condition de n’être « pas trop contrainte ». Vote : oui à l’unanimité.
Thérèse suggère que soit nommée une personne déléguée par chorale, pour assister à certains conseils d’administration ouverts et faire transiter l’information entre les choristes et l’ACBV. L’idée est approuvée.

VI. Rattachement du chœur  du Vivarais

Micheline explique que le chœur  du Vivarais n’est rattaché à aucune fédération locale, elle souhaiterait adhérer à l’ACBV après délibération de son conseil.
Le conseil de l’ACBV, quant à lui, a déjà accepté cette candidature.
Le chœur  du Vivarais est une structure particulière en cela qu’il n’est pas vraiment une chorale, mais plutôt un rassemblement de 120 à 130 choristes, certains venus de la Drôme, par ailleurs affiliés à une chorale.
 

La réunion se termine à midi, avec des bavardages autour de l’apéritif, avant qu’une quinzaine d’entre nous se rendent au restaurant.